La médiation familiale, alliée de l’autonomie
La médiation s'appuie sur le principe d'autonomie qui fait une place à chacun, et recherche, par une décision partagée, à faire que chacun ait sa place.
La Fondation AUTONOMIA a fait le constat de l’isolement des personnes dès lors que survient une difficulté qu’elle soit relationnelle ou d’une autre nature. Cet isolement s’aggrave et se transforme en solitude. Faire appel à une aide devient difficile pour la personne concernée mais aussi pour son entourage, familial ou professionnel.
Le constat d’expérience que dans ces situations, la médiation familiale a vocation à faire émerger des ressources insoupçonnées et permet de faire évoluer la situation et de trouver une issue construite par tous pour résoudre « la crise des liens ». A grande échelle, elle participe à la création d’une société des liens, plus solidaire.
Reconnaître les atouts de la médiation pour contribuer à l’autonomie
La Fondation AUTONOMIA a choisi de promouvoir la médiation familiale dans tous les stades où l’autonomie pourrait être réduite, alors même qu’à cette période de la vie en Ehpad ou en établissement, les liens sont le trésor de la vie sociale, en famille, comme en établissement.
Le programme « la Médiation familiale, alliée de l’autonomie » soutient la démarche de la médiation familiale pour une médiation de qualité et contribue à participer à son déploiement quand elle est estimée utile dans les services et établissements sociaux et médico-sociaux.
Il s’attache à favoriser une meilleure reconnaissance des atouts de la médiation familiale auprès des décideurs publics et privés par tous moyens de communication. Il favorise ainsi une meilleure prise en compte des difficultés relationnelles des personnes, familles et établissements par une évaluation précise de ces troubles, aujourd’hui souvent peu considérés.
Les projets soutenus
Centre de la Famille et de la médiation
La Fondation AUTONOMIA soutient le Centre Français de la Famille et de la Médiation pour la qualité remarquée de son action et ainsi de participer au déploiement de son activité à partir d’une évaluation qualitative et quantitative construite de manière partagée.
La volonté commune est de rechercher les voies de progrès pour une meilleure reconnaissance des médiateurs et médiatrices familiaux, mais surtout une meilleure prise en compte des réponses que la médiation familiale apporte dès lors que conflits relationnels viennent perturber toute chance de « plus d’autonomie ».
